Comment se former et former avec Bouge ta ville !

Les objectifs du serious game

Nos solutions répondent à plusieurs objectifs :

  • Connaître l’aisance et les difficultés de déplacement des personnes
  • Permettre la découverte et lever les inhibitions liées à la peur de l’inconnu
  • Renforcer l’autonomie de la personne dans sa capacité de choix et ses pratiques de mobilité (et de non-mobilité).
  • Engager la personne dans une cumulation des expériences et la consolidation des apprentissages.
 

La validation et/ou l'acquisition de compétences dans 5 registres d'apprentissage

Le repérage dans l’espace

Nous vivons dans des espaces toujours plus complexes. Pour s’y déplacer, il faut savoir se repérer et utiliser les cartes, les plans, le GPS, les panneaux indicateurs…

L’utilisation des différents modes de transport

Le train, le car, le bus, la trottinette, le covoiturage, etc.

La mobilité connectée

Se déplacer avec le smartphone, avec l’ordinateur

Les sésames de la mobilité

Les espaces de la mobilité ne sont pas libres et ouverts : il faut savoir lire, avoir des papiers, une carte de paiement, un permis de conduire… Il faut savoir utiliser un distributeur de titres et un valideur…

Les sociabilités mobiles

Nous ne sommes pas mobiles seuls, mais avec d’autres et au milieu des autres.

Les principes pédagogiques de bouge ta ville !

Nos solutions s’appuient sur plusieurs principes pédagogiques :

  • L’immersion : observer et comprendre les situations par l’immersion à 360°.
  • L’apprentissage par le ‘faire’ : le joueur agit en situation.
  • L’apprentissage par le jeu qui est une dynamique d’apprentissage efficace.
  • La pédagogie de la réussite : l’échec n’existe pas dans le jeu. Le score du joueur peut être plus ou moins élevé, mais il progresse toujours.
  • L’apprentissage collaboratif : les joueurs entre eux, les joueurs et les formateurs peuvent se donner des conseils, échanger des « trucs », résoudre ensemble des problèmes du jeu. La dimension collaborative est une bonne dynamique d’apprentissage.

Le RECOURS À la RÉALITÉ VIRTUELLE

Nous utilisons la réalité virtuelle pour former à la mobilité quotidienne. Nos solutions sont ludiques, immersives et interactives

  • LUDIQUE : pour favoriser le changement de comportement. Apprendre par le jeu génère davantage de satisfaction et améliore l’apprentissage.
  • IMMERSIF : avec le casque, le joueur est plongé dans un environnement totalement réaliste. L’immersion est en soi un moyen d’apprentissage. Observer l’intérieur d’une gare, d’un bus, d’un covoiturage prépare le joueur aux situations réelles du même type.
  • INTERACTIF : avec les manettes, le joueur agit et réagit aux situations proposées dans le jeu ; il utilise un distributeur de titres, un GPS piéton, il détermine sur Internet son itinéraire de chez lui au cinéma… Faire les choses, être actif est un second mode d’apprentissage important.

Nos solutions proposent au joueur les conditions de l’apprentissage “naturel” de la mobilité, celui que chacun de nous réalise en apprenant à se déplacer dans des environnements de plus en plus éloignés et différents de l’espace des premières années.

Pourquoi utiliser la réalité virtuelle pour former à la mobilité ?

Pour les structures et les formateurs

  • Le transfert cognitif des situations d’apprentissage aux situations réelles est plus efficace avec la VR qu’avec n’importe quel autre mode pédagogique (notamment les classes ou les ateliers avec des supports papier ou écran).
  • La sécurité des situations de formation.
  • La souplesse de mise en œuvre : on peut modifier à volonté les modalités d’apprentissage.
  • Le suivi et l’évaluation des progressions d’apprentissage.
  • La possibilité de plonger les apprenants dans des situations et des environnements inaccessibles (par exemple, on amène une gare à la campagne).
  • La liberté de conception des situations et des contenus d’apprentissage.

Pour les joueurs apprenants

  • Le joueur se confronte aux situations d’apprentissage dans le cadre rassurant d’une institution, d’une supervision par un formateur ou d’un atelier collectif.
  • Le joueur apprend à son rythme : il peut répéter à volonté les situations ; il peut multiplier les parties du jeu ; il peut commencer une partie, l’arrêter et la reprendre comme il le souhaite.
  • Le joueur est libéré de la pression du regard de l’autre et de situations vécues comme honteuses : ne pas savoir passer un valideur, ne pas comprendre un plan de réseau.
  • Le joueur peut explorer et tester des apprentissages auxquels il ne pensait pas et qui accroissent son expérience de la mobilité. Nos solutions inscrivent le joueur dans une dimension ludique, qui est une bonne dynamique d’apprentissage.